La resistance
Introduction : La politique raciste appliquée en France entre 1933 et 1945, tua plus de 200 000 personnes, dont près de 20 000 juifs qui ont été persécutés et déportés par l’autorité allemande d’occupation, avec le concours et la collaboration du gouvernement de Vichy, pour la seule raison qu’ils sont juifs, même de très jeune enfants, les tsiganes, les résistants, les opposants politiques, les otages...
Sous la politique d’extermination dirigé par Hitler, Quelles sont « les étapes de la mort » pour les enfants et adolescents ?
I- Le Rassemblement De 1940 à 1942, Hitler a décidé d’exclure les juifs de la société grâce à des mesures législatives et réglementaire, les juifs sont reconnus et, ainsi, privés de tout statut de citoyen. Pour les enfants et adolescents, ces mesures sont ségrégatives dans les écoles et universités. Les tsiganes sont reconnus plus facilement. Grâce à ces différents moyens de reconnaissance, les adultes et enfants sont facilement regroupés dans des centres. Par exemple en juillet 1942, la caserne Dossin du « Sammelager », fut un camp de rassemblement. Ces intrus de la société d’après Hitler furent également internés, dans des camps de transit à Compiègne ou a Drancy, près de Paris, aussi en province et dans d’autres lieux d’internement et de rassemblement. Les conditions d’existence furent bafouées. En effet, dans les ghettos de l’est par exemple en Pologne à Lodz en avril 1940 ;Les résidents vivent dans des conditions réduites, les enfants sont affamés, ils n’ont pas de contact avec l’extérieur. Seules quelques lignes téléphoniques, quelques liaisons bancaires et un bureau de poste sont maintenus. Il y a en moyenne 6 personnes qui vivent dans une seule pièce. La maladie est une caractéristique du ghetto, qui constitue un défi pour le Judenrat. Les fournitures médicales sont sévèrement limitées. On estime qu'environ 18 000 personnes sont