Comment va-t-on sortir de la crise grecque ? Qui est la banque portugaise, Espagnol et Italienne ?
Peut-être par la nationalisation qui est très sérieusement envisagée nationalisation se fait avec l’argent des impôts.
La question d’actualité : qui peut être rattachée à la RSE, des états, RSE des entreprises. Doivent-ils aider les entreprises bancaires, donc il faut trouver un cadre législatif qui permettrait de redistribuer les richesses ou sinon solution beaucoup plus radicale la NATIONALISATION.
On peut avec la RSE raisonner à l’échelon Macroéconomique.
Les obligations de renégociation supposent de jouer sur le temps. Sur le moyen terme ou le long terme. Dès l’instant où l’on dépasse un raisonnement courtermiste : s’enrichir pour faire tomber le contrat. Je vais gagner beaucoup d’argent au bout de cinq ans, mon cocontractant va agoniser et disparaitre et je vais gagner. C’est l’attitude des entreprises nord-américaine. Elles ont trouvé des cout de production très faibles, moyennant quoi ils ont organisé une remontée des dividendes, les entreprises mexicaines n’ont pas pu soutenir le développement et ont fait faillite. Les entreprises américaines auraient pu aider à l’industrialisation du Mexique.
Si on avait dit que les parties s’obligent à des renégociations de façon a identifier celui qui met une mauvaise volonté. Le solidarisme contractuel au service de la RSE, comme outil de développement.
Un des côtés pervers de la RSE c’est qu’on fait du social, on achète la paix sociale alors que ça c’est plus RSE , du coup on détruit la faculté de contestation de salarié car le jour où il contestera il sera vu publiquement mal vu et de mauvaise foi. Cela conduit à détruire le syndicalisme.
En France grande période de syndicalisme marxiste, aujourd’hui c’est révolu. Il a une raison d’être mais peut dériver politiquement. Sans eux pas d’école publique, pas d’allocations etc…
Depuis 1945 dans les transports, le jour de grève est de 0. Pourquoi ? Car le Luxembourg a