«L’Archange de la Terreur»
Connu comme révolutionnaire exalté, de nationalité française et fasciné par la culture gréco-romaine, Louis Antoine Léon de Saint-Just a laissé une marque politique majeure au sein de cette Révolution ayant marqué les années 1789 à 1799, qu’est la Révolution française. En plus d’avoir passé par la profession d’avocat, les vingt-six ans d’existence de Saint-Just lui auront suffi à ce qu’il accomplisse tant de choses et s’implique dans tant de concepts politiques, dont certains cependant refusés pour cause de son âge. Passant par le titre de lieutenant-colonel en 1789, les années de missions, de l’armée du Nord à celle de l’Est, du surnommé «Archange de la Révolution» lui auront bien heureusement valu sa distinction parmi tant d’autres, vu son plein potentiel de prôner l’égalité et la vertu, ayant eu comme résultat l’inspiration de la Déclaration des droits de l’homme en 1793.

«Divin marquis»
Donatien Alphonse François de Sade, sous son titre de naissance de «marquis», voué notamment à plusieurs talents, se dit homme de lettres, romancier, philosophe et homme politique français. Fils d’un diplomate, il est né à Paris en 1740 dans une vieille famille dite aristocratique. Il s’est vu entrer dans une école militaire à très bas âge et s’est tout aussi vu passer de l’autre côté des barreaux pour plus de vingt-huit ans, vu sa vie devenant plus scandaleuse que jamais. Ce qu’il écrivait sans cesse durant ces innombrables heures enfermé en prison, que ce soit des pièces de théâtre ou encore des simples romans qui, dans son cas, tournaient au scandale, se voyait détruit. Son nom n’était célèbre que pour ses romans toujours plus obscènes les uns que les autres, comme quoi la célébrité n’a pas que du bon!