La raison est qu'une grande partie des sommes investies se rendent rarement rendues où elles devraient être soit aux services de santé de premières lignes. Si on regarde attentivement les organigrammes des CSSS et des Ministères impliqués dans les services de santé, on constaterait qu'il y a beaucoup trop de postes de haut-dirigeants grassement rémunérés à même nos impôts comparativement au personnel infirmier travaillant en première ligne. Un ménage s'impose! C'est ce déséquilibre qui coûte cher et c'est là que vont la plus grande partie des sommes engagées.Car disons-le mes chers concitoyens je trouve que jusqu'à date vous avez déjà suffisamment payé pour un système de santé déficient. Quant aux tickets modérateurs que l'on veut nous imposer, moi j'aimerais que l'on me garantisse l'accès à un médecin de famille compétent ainsi que l'accès à des soins de santé et des traitements à la fine pointe dans un délai raisonable. Bref, j'aimerais que chacun de nous reçoive en contrepartie ce qu'il lui est dû peu importe la place sociale qu'il ou elle occupe dans la société. Que les gens comme les mères de famille de jeunes adultes jugées comme non productive, parce qu'elles ne travaillent, ne soient plus considérées comme des citoyens de second ordre. Et que celles-ci aient les mêmes droits que ceux qui travaillent ou qui occupent des postes importants.Parce qu'on manque de courage politiqueL'affaire, c'est que le privé est déjà en train de reprendre le contrôle du système de santé, malgré la volonté du gouvernement et des groupes de gauche, et c'est pour une raison bien simple : il s'adapte à la demande sans crise du système, sans drame, sans commission romanov ou castonguay, snas aucune injection massive d'argent de la part du gouvernement, et aucune mesure de ces commissions ne prend 20 ans à implémenter dans le système privé. Le système publique est voué à l'échec chaque fois que des changements importants des besoins de ses utilisateur surviennent Le libre marché