La servitude volontaire contre machiavel
A) La Boétie critique dans son discours de la servitude volontaire la vie des tyrans et des tyranneaux. Il dit que les tyrans sont souvent des hommes faibles, comme les autres. Seuls les naïfs et crédules peuvent l’idolâtrer. Les tyrans sont rusés et ils inventent des plans élaborés, consistant en une hiérarchie à plusieurs niveaux, composée d’une conspiration des complices. Des hommes rusés qui flattent le peuple pour mieux les asservir, ils aiment divertir par le théâtre par exemple, pour mieux les contrôler. Selon lui, la tyrannie n’est qu’une tumeur attirant les infections. Le tyran aime bien utiliser la religion comme avantage et passer pour des sains. On les croit même capables de faire des miracles. Cependant, la vie d’un tyran ne tient qu’à un fil, car son pouvoir il le détient du pouvoir que le peuple lui donne. Le tyran fait du mal à tous, donc il craint tout le monde et recourt à des mercenaires étrangers. Ils ne sont clairement pas heureux, car toujours inquiet de leurs sorts, ils craignent continuellement leurs courtisans qui cessent de se donner corps et âme pour lui et ce qu’ils les ferraient perdre le contrôle. Ils ont peur que le peuple se libère de la servitude pour finalement les faire tomber. Ils sont rongés de l’intérieur de multiples peurs. Ils ne peuvent avoir d’amis dans leurs royaumes, car dit des amis dit être égaux et ce qui dit être égaux dit danger de se faire remplacer ou perdre son pouvoir. La solitude accompagne les tyrans et toujours seuls dans le long couloir de la tyrannie, ils ne peuvent que compter sur eux et ils ne vivent que de mauvaise façon. Durant toutes leurs vies, ils cherchaient à rester au pouvoir. Ils vivent dans l’ignorance de ce que sait de vivre bien et heureux. Il ne sent rend peut être pas compte, mais ils vivent à côté de la plaque. Se battre pour faire souffrir les autres (Peuple, forçât, esclaves) et rester au pouvoir n’est pas la définition du bonheur et d’une vie vécu heureuse. Pour La