La socialisation favorise les inégalités de genre mais peut aussi être un facteur de changement
Il paraîtrait que la personnalité de chacun n'ai que très peu d'origine biologique, mais soit plutôt le résultat de la socialisation. La socialisation est un processus par lequel la personne apprend et intériorise, les éléments socioculturels de son milieu, les intègre à la structure de sa personnalité sous l'influence d'agents sociaux. Dans un premier temps nous verrons en quoi celle-ci favorise souvent la reproduction sociale ( inégalité de genre ), puis dans un deuxième temps nous expliquerons que la socialisation peut être aussi facteur de changement.
La socialisation favorise des inégalités de genre
A) Constat des inégalités entre homme et femme
Nous remarquons de nombreuses inégalités selon l'appartenance au sexe masculin ou féminin, à la fois dans la shpère privée et dans la sphère public.
a) Sphère privée
Les femmes acomplissent toujours plus de tâches domestiques que les hommes ( document 3 ). Les femmes conservent le rôle traditionnel de la maternité ( document 3 ). Elles consacrent plus de temps à leurs enfants. Sûrement car il leur est demandé de transmettre une éducation. Les activités dans la sphère privée sont adréssées aux femmes: entretenir son foyer ( document 3 ). C est une vision naturalisante que nous constatons à travers les catalogues. Ils font perdurer le rôle traditionnel de la mère et de la femme.
b) Sphère public
Dans la vie professionnelle , il y a un écart de 25% au niveau de salaire, en faveur de l'homme et au detriment de la femme. Les activités de la sphère public seront destinées aux hommes: comme le bricolage. Les postes de haute qualifications correspont le plus à souvent à des hommes, mais nous constatons une nette augmentation du côté des femmes, plus 14% entre 1935 et 1970. 83% des emplois à temps partiel sont occupés par des femmes qui est une prétendue solution pour concilier travail et famille.
B) Des inégalités qui ont leur source
La socialisation favorise des