La société de consommation
Depuis des siècles, on a assisté à l'existence des milieux qui ont voulu contôler la population et ce milieu a utilisé toutes les ruses pour embrouiller l'impression de contrôle et faire en sorte que la population, qui est nécessairement une société de consommation, soit en foi que l'instance de ''contrôle'' fait de son mieux afin d'assurer le bien-être de sa SC. Il est néanmoins évident que toute activité dans une économie est à but lucratif et ses instances font du profit en parallèle de l'acctivité bénéfique pour la société. Bien que dans un premier temps l'intention derrière cette stratégie protectioniste soit bienveillante, dans un deuxième temps le développement des infrastructures, du système et des modes de vie poussent les dirigeants des instances secourables de poursuivre une allure de profits maximisé au dépens de la SC.
La société de consommation fait l’objet d’une critique très rigide. En effet, face à de nombreuses dérives, le capitalisme consumériste est remis en cause et ce fait est discuté dans l'extrait de Jean Beaudrillard qui relève de façon parodique les incentives et l'essence vraie des politiques qui conditionnent les marchés, les moyens de productions, l'utilisation et l'exploitation du capital humain, et entre autres, l'abus des agents économiques : '' Toute la dynamique de groupe, et les pratiques analogues relèvent du même objectif (politique) ou de la même nécéssité (vitale): le psycho-sociologue patenté est payé cher pour réinjecter da la solidarité, de l'échange, de la communication, dans les rapports opaques de l'entreprise'' (p.2). Ceci étant dit, on doit noter l'importance du 'sourire institutionnel', un concept qui incarne l'ironie des 'bonnes intentions' cachée derrière les sourires d'une assistante sociale, d'un hôte d'accueil, des 'apôtres fonctionnaires' qui sont formés à agir de la sorte et sont sous le contrôle rigureuse de non divulgation des détails de leur instruction.