La théorie d'agence
Faculté des Sciences Juridiques, Économiques et Sociales
Meknès
Master spécialisé : ESIF
Elément d module : gouvernance d’entreprise
Exposé sous le thème :
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M. CHARBA [pic]
ROUIJEL TARIK WASSIM HANI LEBARRANI
Année universitaire : 2010/2011
Plan :
Introduction
I. Problématique de la T.A
A. Asymétrie de l’information
B. Conflits d’intérêts
II. Courants de la T.A
A. Théorie normative de l’agence
B. Théorie positive de l’agence
III. Apports et contributions de la T.A
IV. Limites de la T.A
Conclusion
Introduction :
La firme a été, pendant longtemps et jusqu’aux années 30, considérée par les théoriciens néoclassiques comme étant une boîte noire, un simple lieu de transformation. Le marché et son corollaire la fixation des prix, faisaient, à eux seuls, l’objet d’analyses économiques. Les économistes de l’époque percevaient l‘ensemble des phénomènes économiques, particulièrement la production, comme des transactions coordonnées par les prix. Telle était l’image de la firme par l’économie néoclassique, une image complètement passive. Jusqu’au jour où le célèbre Ronald Coase étudie l’entreprise non comme un simple agent mais comme une entité complexe, composée d’éléments divers capable de mettre en œuvre, en les combinant, des mécanismes de coordinations différents de ceux d’un marché.
A la question : «Pourquoi existe-t-il des entreprises, alors que la théorie économique montre que le marché est la forme de coordination la plus simple ?», question qui obsédait un bon nombre d’économistes, Coase avance que le recours au marché, au mécanisme de prix, n’était pas gratuit. Selon lui, le marché a un coût de fonctionnement. Une idée qui lui a valu le prix Nobel