La valse de la vie
Se laisser porter par le vent, ce vent si doux, si agréable, qui, par sa brise si légère nous transporte dans un élan de sensation faisant travailler chacun de nos sens, chacune de nos émotions. La brise nous emporte dans un tourbillon de sentiments, les fleurs dansent, l’herbe chante, les arbres frémissent tous s’accordent à cet élan de nostalgie qui nous pénètre de tout notre être, de toute notre âme. L’air est si respirable, chacune de nos respirations se mêlent au souffle du vent, le vent qui deçà, delà nous entraîne dans le tourbillon de la vie, fais n’être chacune de nos pensées, de nos émotions, nous fait rire, nous fait pleurer. La brise se déchaîne, fessant place à la haine, les cris résonnent, l’air se transforme, chacune de nos douces pensées disparaissent pour laisser place à la tristesse. Notre respiration s’accélère, tel de la soie le vent se glisse sur nos joues humides, au fond de nous des flammes jaillissent, notre cœur s’éclipse. Le bourgeon éclot, laissant place à plus beau, une fleur si fragile vient se mêler au tourbillon qui m’habille, elle dance et s’élance dans la dance. Le vent nous pousse dans vers le chemin, guide nos pas, nous élance, nous balance, certains imprévus nous freines, certaines rencontres nous aides. Porter par la douce brise la vie suit son cour, elle naît puis disparaît, c’est le cycle de la vie, l’âme s’évapore, le vent l’élève et l’emporte.
Se laisser porter par le vent, ce vent si doux, si agréable, qui, par sa brise si légère nous transporte dans un élan de sensation faisant travailler chacun de nos sens, chacune de nos émotions. La brise nous emporte dans un tourbillon de sentiments, les fleurs dansent, l’herbe chante, les arbres frémissent tous s’accordent à cet élan de nostalgie qui nous pénètre de tout notre être, de toute notre âme. L’air est si respirable, chacune de nos respirations se mêlent au souffle du vent, le vent qui deçà, delà nous entraîne dans le tourbillon de la