La vie de tony montana
Grâce à leur carte verte, ils trouvent un petit boulot dans une cabane à frites de Miami. Tony prononce alors une des phrases culte du film : « J'ai des mains faites pour l'or et elles sont dans la merde ». En effet, travailler pour quelques dollars ne correspond pas à l'idée qu'ils se font du rêve américain. Omar Suarez, le bras droit d'un caïd de la pègre locale, leur propose alors 500 dollars pour décharger de la marijuana d'un bateau. Tony se révolte, il désire beaucoup plus d'argent et de responsabilité. Il lui sera donc offert 5000 $ pour faire ses preuves lors d'un rendez-vous armé pour acheter de la cocaïne à un revendeur qui essaie de les doubler. Les choses tournent à la boucherie mais Tony et ses complices prennent l'avantage grâce à leur sang-froid et leur parfaite insensibilité ; ils fuient avec l'argent et la drogue du dealer. Frank Lopez, le patron de Suarez, les recrute alors, ayant surtout de l'intérêt pour Tony, qu'il utilisera comme son porte-flingue, pour protéger Omar durant des transactions avec un caïd de la drogue en Bolivie, Alejandro Sosa.
Mais Omar se fait tuer et Tony cherche à pousser son patron à faire des affaires avec Sosa, entraînant ainsi des tensions entre les deux hommes. De plus, séduit par Elvira, la femme de Frank, il tente de la séduire à plusieurs reprises (devant Frank lui-même !), ce qui pousse son patron à engager deux tueurs à gages afin de se débarrasser de Tony. Mais Tony s'en sort vivant et, devinant qui a engagé les tueurs à gages, décide de se venger et tue son patron (tuant par la même occasion Mel