La vie devant soi
Emile Ajar
Passage page 9-10
Introduction :
C'est le début du livre et c'est là qu'on découvre l'un des personnages principale : Madame Rosa. Et le décor de l'histoire.
Découpages :
1. La première chose...un ascenseur. = Présentation de Mme Rosa.
2. Je devais avoir....plus là-dedans. = Souvenir de la rencontre avec Mme Rosa.
3. Au début, je ne savais....parti en pleurant. = Découverte du mandat pour s'occuper de lui
Remarque :
« La première chose que je peux vous dire c'est qu'on habitait au sixième à pied (...) ». Au début, on pense que le narrateur s'adresse au lecteur mais à la fin du livre on s'apercevra que non. Le bout de phrase « on habitait au sixième à pied » n'amène rien. A la quatrième ligne de la page 9, « (...) c'était une vraie source de vie quotidienne, avec tous les soucis et les peines. » cela fait des rimes si l'on imagine rajouter : de problèmes, problèmes juste après « c'était une vraie source... ». Le narrateur fait des rimes sans s'en apercevoir. Le narrateur doute toujours sur son âge « Je devais avoir trois ou quatre ans (...) », « Quand je l'ai appris, je avais déjà six ou sept ans. ».
Le narrateur aimait énormément Madame Rosa et il a cru jusqu'à ses six ou sept ans que Madame Rosa s'occupait de lui parce qu'elle l'aimait aussi. Mais après lorsqu'il a sût que Madame Rosa s'occupait de lui pour toucher un mandat à la fin du mois, il fut énormément triste. Alors que le mandat n'était qu'une raison parmi d'autres. Surtout qu'elle l'a toujours aimait et qu'elle ne s'occupait pas de lui seulement pour l'argent. A la fin du passage, « Elle m'a pris sur ses genoux et elle m'a juré que j'étais ce qu'elle avait de plus cher au monde mais j'ai tout de suite pensé au mandat et je suis parti en pleurant. » Madame Rosa lui dit très clairement qu'elle l'adore mais à cause du terme « le plus cher au monde » le narrateur ne le prend pas au bon degré.
On comprend pendant le passage que le narrateur est un enfant,