La vie du français à montréal

505 mots 3 pages
Montréal est reconnue être la deuxième ville la plus peuplée au Canada, après Toronto. Elle est aussi reconnue pour être une ville inter-culturelle. Mais encore, la seule métropole francophone en Amérique du Nord. Son grand nombre d’immigrants, de partout à travers le monde, fait en sorte que le nombre de citoyens ayant le français comme langue maternelle est en baisse, que le français parlé n’est plus aussi important pour certains.

On sait tous que le français à Montréal n’est pas vraiment utilisé comme langue première de la ville. Par exemple, on n’a qu’à aller dans un magasin, et on va se mettre à parler l’anglais, langue que tous connaissent. Plusieurs personnes préfèrent parler anglais lorsque leur interlocuteur semble ne pas parler facilement en français. Tant qu’à y être, autant dire que notre langue ne compte pas pour nous. C’est le message que nous transmettons. Que notre langue n’est pas importante. Juste avant l’adoption de la loi sur la langue officielle de la province, en 1974, le premier ministre Jean-Jacques Bertrand a institué la Commission d’enquête sur la situation de la lange française et des droits linguistiques au Québec. Dans ce rapport on y lit que «si le français n'est pas en voie de disparition chez les francophones, ce n'est pas non plus la langue prédominante sur le marché du travail québécois. Le français n'apparaît utile qu'aux francophones.» En effet, au travail, francophones, anglophones se parlent en anglais la plupart du temps. Les commerçants préfèrent communiquer aux clients en anglais, car ils sont assurés d’en toucher plus. Une grande partie des francophones peuvent parler anglais couramment, alors que plusieurs anglophones ne prennent même pas la peine d’apprendre cette langue qui est importante dans la culture québécoise. Un américain a déjà refusé de parler français avec un journaliste en disant que c’était à lui de s’adapter. N’oublions pas que les anglophones forment une minorité à Montréal. Pour une ville

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