La vie est belle
Ce film est avant tout une fable, un conte moderne et non un film historique. Il vise un public de tout âge. Il se décompose en deux parties : la première se passant en 1938 et la seconde en 1943 ou 1944.
En résumé : En 1938, Guido est un jeune homme juif , plein de vie , épris de Dora, une jeune institutrice. Celle-ci, enfermée dans l’environnement rigide et austère de l’Italie fasciste, se laisse séduire par la fantaisie, l’humour et la tendresse de Guido. Quelques années plus tard, le couple qui a désormais un fils, Giosué, est déportés comme de nombreux autres Juifs vers un cap de la mort. Là, dans les baraques des hommes, Guido essaie de sauver Giosué en cherchant à le convaincre que tout cela n’est en fait qu’un grand jeu
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Synopsis[modifier]
Roberto Benigni définit lui-même son film comme une fable, un conte philosophique : Guido rencontre et séduit sa future femme, Dora. Des années plus tard, il en a un petit garçon prénommé Giosué et, en tant que Juifs, ils sont déportés vers un camp de concentration allemand réel mais indéfini sans référence précise1. Là, il fait croire à son fils que les occupations du camp allemand sont en réalité un jeu, dont le but serait de