La vie par platoni
• Si on se pose la qs « qu’est-ce que la vie ? », on découvre aussitôt que la vie et/ou ma vie précède et peut-être rend possible la qs que l’on se pose (parce que l’on est vivant que la qs est possible). « Vivre d’abord, philosopher ensuite » Notre pensée doit donc revenir, au moins sous un certain rapport, vers ce qui la précède (la vie comme condition de la pensé, la vie comme cause de la pensée, la vie comme principe de la pensée).
• Quelque soit les réponses du rapport Vie/pensée, la vie continuera après → la vie est là et il faut faire avec. Tant que l’on est ds la vie, il est difficile d’appréhender le sens de la vie (direction et signification).
• Peut être la pensée ne change rien ou presque rien à la vie. Y-aurait-il une impuissance de la pensée ? Nos habitudes sont le signe d’une modification induite par notre réflexion au début, tt au moins. On peut avoir le sentiment que grâce à notre pensée nous réalisons une modification ds la vie ou de notre vie. Faut-il comprendre ce moment de modification comme une parenthèse entre deux manières de vivre ? Peut-être pourrait-on dire que la vie est un concept qui englobe ttes nos manières d’être. Chez Aristote, ds l’absolu pensée = vie (Dieu est la pensée de la pensée et vie)
II- Introduction générale à Platon
Comment aider les prisonniers de la caverne (Allégorie de la caverne, Platon) à comprendre ce qu’ils vivent ? Les prisonniers confondent la qs du savoir et du voir. Ils pensent que ce qu’ils voient, c’est ce qu’ils savent. Ceux qui st ds la caverne vivent comme si la vie était non problématique. Avec la vie, nous est donnée l’habitude. Qd le philosophe redescend ds la caverne (après avoir accédé à l’idée/intelligence) il doit reprendre ses habitudes pr vivre. L’allégorie de la caverne concerne vie publique et vie privée. L’habitude est tt d’abord un phénomène aussi politique car elles sont données par traditions familiales/sociales/culturelles → vie du tt mise en cause par