la vie
Des punitions qui se veulent justifiée mais on nous laisse entendre l’arbitraire des décisions prises et des éventuelles interprétations des faits : « avec un air d’approbation »/ « les sages du pays n’avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale » a priori certitude mais surtout c’est tout ce qu’ils ont trouvé !
Des pratiques codées mais ridicules symbolisées par les peintures sur les mitres et les san-benito et leur naïveté (« flammes », « diables »).) La mise en cause de la religion
« donner au peuple un bel autodafé » : qu’importe l’efficacité réelle des moyens employés, ce qu’il compte c’est de donner un spectacle au peuple pour lui faire oublier les circonstances et lui donner l’impression que la religion n’est pas impuissante.
Des punitions qui se veulent justifiée mais on nous laisse entendre l’arbitraire des décisions prises et des éventuelles interprétations des faits : « avec un air d’approbation »/ « les sages du pays n’avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale » a priori certitude mais surtout c’est tout ce qu’ils ont trouvé !
Des pratiques codées mais ridicules symbolisées par les peintures sur les mitres et les san-benito et leur naïveté (« flammes », « diables »).
Absence de justification soulignée par Candide : « sans que je sache pourquoi ».
L’inclusion de la violence comme naturelle dans les pratiques religieuses : »prêché, fessé, absous et bénis ».
c) Le réveil du naïf : remise en cause de la philosophie
Si le regard de Candide semble encore être notre prisme au départ de la scène, puisque le récit qui nous en est fait est neutre, la fin nous suggère que Candide pour la première fois remet en question le bien