La violence familiale
INTRODUCTION
La violence familiale est définie comme étant la relation intime du rapport qui existe entre l’agresseur et la victime et, de leur lien intime. Il existe plusieurs catégories de violence qui se retrouve tous dans la violence familiale. On parle de celle faite par les enfants à leurs parents et celle entre conjoints. La violence conjugale existe depuis toujours mais depuis quelques années cette dernière est prise beaucoup plus au sérieux. Ce n’est que depuis 1995 que la violence conjugale est criminalisée. Avant cette date, l’homme avait le droit et la possibilité d’infliger à sa femme des sévices physiques et psychologiques si elle ne respectait pas les règles de la maison. Il sera question dans ce texte d’une analyse critique sur le sujet de la violence familiale de monsieur Gilles Rondeau. Il sera donc question de plusieurs liens faits entre le texte lu et la conférence à laquelle nous avons participé, ce que le texte m’a fait vivre et mes hypothèses.
DÉVELOPPEMENT
A la lecture du texte, j’ai fait plusieurs liens avec la conférence du 25 janvier dernier dont le sujet était la violence conjugale et les effets sur la victime qui sont impossible à nier. Les principaux effets sont : l’estime de soi à la baisse, la honte, le sentiment d’impuissance et la différence de pouvoir entre l’agresseur et la « dite » victime. Durant toute la durée de la conférence, nous avons parlé du fait d’augmenter l’estime de soir de la victime afin qu’elle puisse percevoir ses propres besoins et non seulement ceux de son conjoint. De plus, il fut question du contrôle et de la domination que l’agresseur veut continuer d’exercer sur sa victime. Lorsqu’un moyen échoue, l’agresseur redouble d’ardeur et utilise un moyen plus performant qui lui permettra d’arriver à ses fins et de restaurer son autorité. Comme nous a mentionné la conférencière, la violence est un comportement appris par observation et imitation. De même, la société exerce une