La violence
LA VIOLENCE de véronique le Goaziou édition le cavalier bleu
Apparu au XIIIe siècle le terme violence est emprunté au latin violentia désigne le caractère violent ou emporté, en parlant des personnes, ou impétueux, en parlant des choses, par exemple le temps. Le terme est employé également au pluriel, les violences sont alors des actes d’agression commit volontairement à l’encontre d’autrui sur son corps ou ses biens. En droit pénale les violences sont légères ou grave. Ce sont aussi des paroles qui manifestent l’hostilité ou l’agressivité entre individus.
Ce n’es pas la première fois que l’on s’interroge sur la violence, ni que l’on s’alarme sur ses manifestation et que l’on tente de lutter contre elle. Aujourd’hui la violence est redevenue un phénomène de société.
La première difficulté : sa diversité, sa multiplicité des phénomènes qu’elle recouvre.
On a tendance a assimilé violence et attaque corporelle.
Chercher une définition objective de la violence peut sembler dérisoire, car ce qui est conçu ou perçu comme violence vari dans l’espace et le temps.
Si la violence est mouvante et insaisissable, suivant les lieux, les circonstances ou les milieux, des réalités différentes. N’est pas plus évident que c’est l’examen des motifs qui nous poussent à designer comme violents certains phénomènes ?
En ce XXIe siècle, nous associons tout acte de violents, apparait donc les violences domestiques, violences scolaire et violence institutionnelle.
Autrefois, l’autre était le violent : le paysan, le sauvage, le libertin, le fou, l’errant. Celui qui incarnait le figure contraire de ce vers quoi la société tendait. Nous avons découvert à travers la psychanalyse par exemple, que le violent pouvait être une personne ordinaire, pouvait être nous même. « La banalité du mal » appellation donné par Hannah Arendt dans Eichmann a Jérusalem.
La parole des victimes référent deux type de souffrance, la souffrance ancienne que l’on rend publique,