la vita activa
Théorie de l’idéologie
Analyse La condition de l’homme moderne d’Hannah Arendt
Travail présenté à
Certificat en sciences sociales
UQAM
Le 6 novembre 2015
L’expression vita activa expliqué par la philosophe Hannah Arendt dans « Condition de l’homme moderne » exprime comment le statut de l’homme s’est transformé dans le siècle moderne actuel. L’humain fait maintenant parti d’un univers qui le dépasse et dont il ne peut s’échapper. La vita activa est expliqué dans le roman par le travail, l’œuvre et l’action auquel l’homme actuel se livre. La philosophe a pour idée que la condition de l’homme face au travail, l’œuvre et l’action forment l’idéologie moderne de la vita activa. Dans le texte suivant sera résumé la position de l’auteur en ce qui trait à la condition de l’homme moderne par la problématisation des trois principes de la vita activa.
La vita activa, synonyme de non-repos1, est en lien avec la nécessité du travail. Le travail est décrit par Hannah Arendt comme un processus « qui tourne sans cesse dans le même cercle que prescrivent les processus biologiques de l’organisme vivant, les fatigues et les peines ne prennent fin que dans la mort de cet organisme. » 2 Le travail devient donc un cycle perpétuel, c’est-à-dire un mouvement cyclique qui se termine à la fin de la vie de travail d’un homme et qui recommence lorsqu’un autre prend sa place afin de perpétuer cette idéologie du travail. Celle-ci, « passant du dernier rang, de la situation la plus méprisée, à la place d’honneur et devenant la mieux considérée des activité humaine commença lorsque Locke découvrit dans le travail la source de toute propriété »3. Le travail autre fois était plutôt perçu comme un moyen de survie afin de répondre à ses propres besoins, tandis que maintenant on vend notre force de travail contre un salaire afin de subvenir à nos besoins fondamentaux, et si possible, de combler certains besoins matériels.
Pour reprendre,