Sujet : La conscience est-elle un privilège ? L’homme depuis toujours est doté d’une facilité à penser, il ne peut s’empêcher de se questionner. L’humain à ces réflexions du fait qu’il a conscience de son existence. La conscience peut se définir de plusieurs façons. Elle peut représenter cette simple capacité de perception de l’environnement, se que l’on pourrait appeler, discerner des objets, qui aurai donc comme sens contraire l’inconscience, dans le sens d’une personne endormi …afficher plus de contenu…

De plus la réflexion accorde aux humain un pouvoir, celui de penser et de connaître, ce qui nous donne un avantage sur les bêtes. D’ailleurs depuis des années les hommes dominent les animaux en les exploitants et les dominant. Les hommes méprise les bêtes. Non seulement les humain peuvent savoir mais on aussi cette faculté d’apprécier les choses qui ne sont pas d’usage, par exemple le fait de contempler quelque chose que se sois d’esthétique ou de croyance. L’homme est conscient de lui même et c’est cette conscience qui lui permets d’être libre, libre de ses choix. Elle lui donne un pouvoir de représentation qui lui permet de s’exprimer ou extérioriser ses émotions et de …afficher plus de contenu…

Le doute de soi nous expose a l’irrésolution, nous ne sommes donc pas en doute permanent car par crainte de se tromper nous ne serions jamais en mesure d’agir. Cette porté moral est notre capacitiste à être à l’initiative de nos valeurs, elle peut causé une remise en questions nos valeurs. Par conséquent la conscience ne peut pas être moral si elle n’est pas libre, mais en un certain échange elle nous fait porter se fardeaux du choix qui peut nous faire ressentir se sentiment inconfortable de incertitude. Rousseau distingue une tendance naturel de la réflexivité qui nous est acquise, la réflexivité pervertie nos tendances naturel qui, elles, sont bonnes. Par exemple, la plus part de nos amitiés se font d’instinct à