L'albatros, charles baudelaire, les fleurs du mal

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De la même manière qu’Edgar Allan Poe dans le poème « le corbeau » où le poète se compare à un corbeau, Charles Baudelaire fait de même ne se comparant à un albatros. Charles Baudelaire est un poète français du 19ème siècle et qui appartient au Romantisme mais qui est aussi un précurseur du symbolisme. Charles Baudelaire a écrit des poème réunit, pour le plupart , dans le recueilles le plus connu : Les fleurs du mal. Dans ce recueille de poème on y retrouve celui de l’albatros, c’est un poème écrit …afficher plus de contenu…

En effet, le nom « les planches » qui est le sol de bateaux fait aussi référence aux planches donc a la scène d’un théâtre où l’albatros y est amené comme un artiste peut-être amené à jouer sur scène. Malheureusement, une fois sur le plancher du bateau l’oiseau es dévaloriser. Il est « maladroits et honteux » et adopte un posture piteuse : « piteusement ». Cela donne une image pathétique de l’albatros une fois sur terre, de plus « maladroits et honteux » et en contraste avec « rois de l’azur »dans le vers 6 ce qui montre une opposition entre la posture de l’oiseaux dans les airs et celle sur terre. Mais aussi, les ailes de l’oiseau sont comparés à des « avirons » qui sont des rames qui font avancé le bateau tout comme les ails qui le font normalement volé mais là qui sont complétement inertes. Enfin Baudelaire nous propose aussi la représentation dans la société. …afficher plus de contenu…

En effet au vers 13 nous pouvons trouver la métaphore « Le Poète est semblable au prince des nuées » ce qui signifie que le poète se compare au « prince des nuées » qui est une périphrase de l’albatros. Cela montre que Baudelaire se pense avoir un intelligence supérieure a celle des Hommes, comme l’albatros qui vole au-dessus des marins. Mais que quand il est au contact de ces Homes, il devient alors ridicule tout comme l’albatros. Cette interprétation est accentuée par le vers 10 qui nous montre l’antithèse entre la beauté et le ridicule, la terre et l’air. Mais aussi grâce au vers 14. Ce vers est également une métaphore du poète qui est comparé encore à l’albatros. « hante la tempête et se rit de l’archer ». Cela montre que le poète, tout comme l’albatros, se moque des difficultés qui sont causés par les

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