laska
Considération de soi sur un mode d'inflation, fantaisie de succès, grandeur, surestimation de soi, s'attend à être reconnu comme supérieur.
Attitude vis à vis d'autrui: manque d'empathie, exploite l'autre, attitude arrogante, hautaine, besoin d'être aimé et admiré, pense que tout lui est du
Décompensations dépressives
Personnalités paranoïaques et sensitives
Personnalité paranoïaque:
Surestimation de soi et inflation de l'ego, hypertrophie du moi
Absence d'auto-critique et jugement faussé
Psycho-rigidité, autoritarisme et intolérance
Méfiance et susceptibilité, agressivité, jalousie, parfois même revendications agressives avec plaintes
Peu de décompensations : soit plaintes hypocondriaques, soit réactions passionnelles ou délire paranoïaque
Personnalité sensitive:
Traits de personnalité paranoïaque et psychasthénique
Hypersensibles, hyperémotifs, scrupuleux, tourmentés et insatisfaits
Sujets aux dépressions, revendications hypochondriaques, ou au délire de relation.
Personnalités état-limite
Il existe, selon J.Bergeret, une lignée intermédiaire qui se présente comme une organisation plus fragile et non pas une structure authentique, comme le sont la névrose et la psychose. Cette organisation peut, à tout moment, "se figer" dans l’un ou l’autre des cadres voisins solides, soit dans la lignée psychotique, soit dans la lignée névrotique. (Cette lignée se retrouve dans les troubles de la personnalité du DSM 4, comme personnalité état-limite ou border-line).
Le Moi se défend par un, clivage en bon et mauvais objets, soit au dedans de soi soit projeté sur des objets extérieurs (personnes). Il n’y a pas de clivage du moi comme dans la psychose.
Il y a traumatisme initial (émoi génital précoce)qui ne permet pas à la personne d’accéder à l’Œdipe. Le Moi ne peut intégrer cet excès d’excitation sexuelle ou agressive.
Le Moi ne peut recourir au refoulement : mécanismes de défense proche de ceux de la psychose.
Angoisse