"Le bain de l'amitié"
1. Un univers particulier
Comparaison de la mer à une bête (l13) incarnation de Dieu.
Vision particulière de l’univers de la mer. LA mer est présentée comme un élément vivant, supérieur, puissant. On le perçoit par l’odorat, l’ouïe … (premier paragraphe)
« derrière eux s’étageait la ville », « poussait vers la mer » → transition. Marque le cheminement à parcourir pour arriver à la mer (c’est le but). Une frontière entre la ville et la mer est gardée. Annonce de la mer : sensations odeur « senteurs », ouïe « sifflait » (l11) « entendirent » et « iode et algue » rappelle la mer. A la ligne 13 : « épaisse comme du velours, souple et lisse comme une bête »
→ « velours » Cette comparaison suggère la douceur, la chaleur. La mer devient une matière agréable au toucher mais aussi à la vue (plaisir visuel)
→ « bête » Vision animiste qui révèle le côté vivant de la mer. Mais aussi son côté dur, indomptable. Lignes 10 à 15 : Allitération en « s » qui rappelle le sifflement. Le verbe « apparut » (l12) montre que la redécouverte de la mer est soudaine (idée de surprise). Ligne 16 : « respiration calme de la mer »: Métaphore pour exprimer les vagues et rappel son côté vivant.
« calme » : vide de vie (il n’y a plus d ‘activité) mais aussi reposant, serein, apaisant (parce que pas de peste.)
1. Un monde de sensation Troisième paragraphe :
La « surface des eaux » est plane, horizontale.
Lorsque Rieux pénètre dans l’eau, le contact est vertical et est perçu de