Le bal des pendue
I ) d’une violence exacerbée, très expressif
A) De par ses répétitions angoissantes, martelantes, prenantes: Reprise, avec effet d’encadrement du même quatrain, initial et final.
· Bal: titre, v. 2 (et dernier vers de la strophe pénultième), ainsi que l’écho: baladin (=saltimbanque, bouffon). Danser, v. 2, 8,15 en nom; paladins en reprise d’un vers sur l’autre (2,3), pantins: 6, 9, noir : 1, 6, 10; implicitement: diable en fin de v. 3, corbeau en 21, champ lexical du clair-obscur: cf. sombres en 23, en contraste avec neige corroboré lui-même, au même v. 19 par blanc, cf. pâles en 31; violettes: 28, rouge: 29, 24, gibet noir: 1, 24, Belzébuth: 5, en début de strophe, au début de 16; orgue: v. 10, 26 N’oublions pas l’interjection: «Hurrah», v. 13, en exergue, comme en 21. Squelette: 25, 34,Heurter: 12, 24; Danse: Intensité, violence: enragé; bondit, rebondit: 343, 40 en début de vers
B) En fait, les sens sont ici fortement sollicités:
· auditif/sons: Toute une cacophonie éclate à nos oreilles: claquant, sons, orgues, hurrah, hop, racle ses violons, durs talons, la bise siffle,