Le bonheur
La notion du bonheur touche chacun de nous. On ne peut y échapper néanmoins nous en avons tous une perception différente. On peut se rendre facilement compte que le bonheur est soit passivement reçu, soit activement rechercher d’où l’expression « la quête du bonheur ». il s’agit dans le premier cas de l’attendre et d’espèrer, dans le second de reflechir aux moyens de nous le procurer si bien entendu il est possible de construire son bonheur.
Les philosophes ont également des idées différentes sur la manière d’accession du bonheur.
Bonheur et plaisir est une philosophie d’équilibre fondée sur idée que tte action entraine des effets plaisants positifs ou des effets amenant à la souffrance.
Epicure, philosophe grec, pense que le bonheur reside dans le calcul des plaisirs. Ainsi, il classe les désirs en 3catégories : les plaisirs naturels (necessaire pour le bonheur, pr la tranquilité du corps, pour la vie), simplement naturels (variations des plaisirs, recherche de l’agréable), et enfin les désirs vains (artificiels qui s’amenuisent ac le tps et créent des dépendances alors que les plaisirs naturels restent constant en intensité et ne resulte que de la soumission aux dépendances naturelles. :richesse l’argent est addictif, mieux vaut rester dans une vie modeste ac des incurssions de tps à autres de vie plus luxueuse, gloire, irréalisables).
Les plaisirs font ensuite l’objet d’un calcul en vue d’atteindre le bonheur. Pour cela tout plaisir n’est pas digne d’etre choisit : le plus gd des plaisirs est la suppression de toutes les douleurs. Cela entraine pour conséquence qu’on doit éviter certains plaisirs et mm accepter certaines douleurs. D’où la règle essentielle de ne satisfaire que les désirs naturels (vie de plaisirs soigneusement selectionnés).
Il faut donc se preserver des dependances artificielles tout en éprouvant le plus de plaisirs possibles. Pour autant toutes douleurs doit-elle etre evitée ?
Tte douleur est un mal et prtant tte douleur