Le calotype en france
1843 : tentative d'explotation du procedé par marquis Bassano
1846-47 : ameliorations par Blanquart Everard
1847 : ameliorations par le couple Guillot-Saguez
1849-51 : ameliorations Le Gray
1839 : Bayard developpent de l'image aux vepeurs de mercure
1841 : papier pas encore fixè mais simplement stabilsè au bromuro de potassium ce qui fragilise potentiellement la couche d'image
1843 : ajoute le fixage au Hyposulfite de soude et le cirage du negatif après traitement.
4 mois plus tard à la Royal Society il ajoute un bain de nitratation avant la ioduration. (double couche d'argent)
1847 : Everard dans son traité abandon de l'acide gallique dans la solution de sensibilisation.
Par à port à l'insertion du papier dans la chambre noire : chassis avc deux plaques de verre , de plusieurs feuilles de papier embibé de eau distillé et du negatif papier ; les feuilles imbibé aderent automatiquement à la glace arriere, permettant la la fixation naturelle du negatif papier.
Mais le calotype ne se democratise tutjours pas. En tout cas sa ouvre la possibilité de se consacrer au calotype
Guillot-Saguez apporte une modification : l'elimination du premier bain de nitratation
1851 : Everard publie un second traité distinction avec procedes sec et humide avec des formulation chimique identiques. (il sagit de essuyer le papier sensibilisé au bouvard et le placer entre les gleces du chassis).
Le papier doit etre utilisé en journé, ce qui emplique son caracter humide pendant l'exposition.
1851 : avant de partire pour la mission heliographique Le Gray Publie un second traité qui apporte un grande modification dans l'utilisation du papier humide : au lieu d'intervenir apres l'exposition et le traitement du negatif, le cirage s'effectue avant l'ioduration.
La feuille se plonge dans la cire, ensuite pour enlever l'exces de cire on passe le papier entre plusiurs feuilles de papier buvard. On obtien des noirs tres intense et on peu