Le capitaine Prusse, Herr Gottfried Schiller, est arrivé peu après la victoire de Strasbourg, ayant vaincu les forces Françaises après trois jours de combat.
Il est arrivé, à cheval d’une grosse bête blanche qui radiait dans le soleil, avec un cortège qui le suivait de près. Il était appelé au petit village de Kehl, pour inspecter une jeune femme tomber malade. Fière de son victoire, il se portait comme le Keiser, avec sa tête qui se portait de haut et un regard dédaigneux. Il avait subit aucunes blessures, et fut simplement déranger par les obus qui tombait. À cet instant, la pensée des obus, des éclats et les dégâts et le bruit. Le choc qui traversait tout le corps dans un instant, qui résonné jusqu’au fond du corps… Il lâchât un cri.
Ses compatriotes se demandaient ce qui c’est passé, et en même temps, commencer par accuser les paysans. Le capitaine, après un moment, reprend conscience de ses environnements, et ordonna les soldats à se remettre en place. Bientôt, ils reprenaient leur chemin. Mais, aussitôt le chemin repris, le capitaine l’arrêta.
Il cru voir des corps sur la route… Des corps qu’il reconnaissait, comme étant ceux des lieutenants et des sergents morts lors des combats. Immédiatement, il appela son sous-commandant et lui demanda pourquoi les corps étaient ici, et non dans le cimetière. Le sous-commandant, Herr Wotan, était complètement stupéfait, ne voyant aucun corps sur la route. En demandant à son commandant de quoi il parlait, Herr Schiller explosa de rage. Pourtant, quand il se retourna pour montrer explicitement où ils se trouvaient, les corps, il fut surpris à ne plus les voir.
Les paysans murmuraient entre eux, les compatriotes se demandaient des questions. Il y avait bien quelque chose qui n’allait pas, mais oseront-ils désobéir leur commandant, et risquer non seulement leur carrière militaire, mais leur vie ?
Tout au long de cela, Herr Schiller reçu un autre attaque de mémoire. Il commençait par regarder dans le vide, et se