Le capitalisme mené par la finance
Introduction :
Actuellement : croissance non – durable avec une consommation à crédit.
Une finance dominante :
Les crises remettent en cause des paradigme économiques qui servent originellement de boussole aux économies. Aujourd’hui nous assistons à une nouvelle forme de capitalisme marquée par la domination absolue de la finance : c’est le capitalisme financier.
L’économiste libéral
L’économiste keynésien
Seul le libre fonctionnement des marché permet d’atteindre l’efficacité économique.
Croit dans les vertus de la concurrence.
Favorable au libre –échange : accroit nécessairement la richesse de celui qui s’y livre.
Il sait que cela conduit à des inégalités sociales.
Les crises ont forcément des raisons éxogènes. pour lui il y a séparation entre efficacité économique et justice sociale.
Il ne faut pas perturber les marché pour rétablir la justice social car la finalité serait : le moins bien-être de tous
Le marché est intrinsèquement imparfait : il est inefficace.
L’Etat doit intervenir régulièrement pour pallier les déficiences des marchés.
Les institutions sont donc fondamentales pour « réguler » les marchés.
Les évolutions du capitalisme :
Robert Boyer ( régulationniste*) : fait rentrer l’Histoire dans l’économie politique pour comprendre comment la finance a réussi à dominer le monde. « les théories de économistes sont filles de l’Histoire et non le moteur ».
L’approche régulationniste : Théorie qui se donne pour objet la compréhension des transformations en longue période et la diversité des capitalismes.
La fin du régime fordiste :
Régulationnisme explique les années 70 (Faible productivité et montée de l’inflation) par la fin du modèle Fordiste.
Cette fin vient de l’ouverture à la concurrence mondiale (compromis d’après-guerre). Ce contexte favorise une montée de la finance.
Les arrières- pensées de la pensée libérale :
Théories qui ont servi à justifier cette domination