Le caractère culturel du rire
Ces deux auteurs nous témoigne de ce qu’ils pensent de l’origine du rire.
En quoi la culture a-t-elle un lien avec le rire ?
Pour répondre à cette question, nous allons voir l’importance du niveau de culture dans le rire, le rire dans la situation hiérarchique puis le rire par rapport à la classe sociale.
Dans le texte de Jean Fourastié, nous avons vu que la culture à un rôle important dans le rire car c’est ce qui permet de pouvoir rire d’une histoire.
D’après lui, plus on a un niveau de culture élevé et mieux on comprendra un grand nombre d’histoire afin d’en rire plus facilement.
Au contraire, plus notre niveau de culture est bas et plus on aura besoin d’explications pour comprendre une histoire, ce qui n’en sera plus drôle au final.
Il nous a donc montré que le niveau de culture d’un individu à un rôle important car il lui permet de rire plus ou moins facilement. Simone Clapier-Valladon, nous a montré que le rire dépend de la situation hiérarchique. On rit plus facilement d’un individu qui se trouve à un niveau supérieur du notre.
Comme on a pu le voir à travers l’exemple de l’esclave qui se moque du maître, l’élève qui se moque du professeur…
Mais cette notion nous montre que le rire permet de conserver l’aspect humain, d’enlever ces situations de hiérarchie et donc ce coté de supériorité d’un individu envers l’autre.
Un individu inférieur à un autre rit tout de même plus facilement.
Il nous a aussi montré que le rire dépend de la différence de classe sociale entre les individus.
En effet, les individus qui se trouvent dans une classe sociale supérieur tel que les milieux mondains, les sociétés puritaines… ont un rire forcé, voir un simple sourire car pour eux les rires naturels, spontanés ou un peu exubérant comme les paysans sont vulgaire voir maléfique.
Encore ici, on voit que