Le chat du nord
Présenté à :
Monsieur Savard
Monde contemporain SMOC500-03
Par :
Aïda Sbih
Groupe 503
Collège Jésus-Marie de Sillery
Le 13 octobre 2011
Avec le développement des nouvelles technologie nous avons besoin de plus en plus de personne spécialisé afin d’aider au développement et au maintien de notre style de vie qui deviens de plus en plus complexe surtout dans les pays riches qui ont beaucoup plus de moyen pour former la nouvelle génération d’ingénieur et a investir dans les nouvelles technologie. Mais qu’en est-il des habitants de pays pauvres dotés d’intelligence supérieure mais qui non pas eu la chance d’habiter dans des pays a haut développement. La solution, immigrer vers les pays riches mais est-ce vraiment profitable ? Dans ce texte nous parlerons de l’exode du point de vue nord-américain et du point de vue africain afin de répondre a la question précédente.
Premièrement, il y a deux façon de percevoir l’exode des cerveaux en Amérique du nord ; le point de vue des autochtone et celui des immigrants. Selon les autochtones cet exode a un effet très négatif car cela peut à terme limiter l’offre autochtone de travailleurs qualifiés.Car il est très tentant pour le gouvernement d’avoir recours à des spécialistes sans avoir eu à couvrir les frais de formation. Chose qui entrainerais la perte d’emploie supérieur pour les autochtones donc une démotivation ce qui les entrainerais à stopper les études supérieurs afin d’exercer un métier inferieur demandant beaucoup moins d’étude pour lesquels ils auront plus de chances d’être engagé car tout les immigrants occuperais les poste qualifiées. Un autre point négatif cet exode c’est que cela pourrais entrainer un nombre élevé d’immigrations clandestines. Mais cet immigration des cerveaux peut aussi être vu d’une façon positive car la venue au Canada de ces nouveau cerveau leurs permettra de développer leurs plein potentiel pour ensuite le partager avec leur terre d’origine et aussi le