1- Pour mesurer la protection de l’emploi, on créer de règlementation dans les embauches et les licenciements. En effet, on réglemente les licenciements des lors que l’employé signe un contrat CDI. De plus on calme les licenciements collectifs. Et on règlemente les contrat type CDD et INTERIM.

2- Le CNE ou Contrat Nouvelles Embauches est un contrat sans limitation de durée envisageable pour les entreprises de 20 salariés ou plus. Les particularités de ce contrat est que l’employeur pouvait licencier sans motif communiqué préalablement et qu’il y avait une période de consolidation de deux ans. Cependant depuis le 26 juin 2008 il est impossible de conclure un CNE

3- La logique Beveridgienne nous vient de William Beveridge, économiste britannique. Il conseille que chaque citoyen étant apte à travailler paye des charges sociales hebdomadaires, afin de profiter en retour de prestations en cas de chômage retraite ou maladie.
Beveridge pense que c’est le moyen d’assurer un niveau de vie minimum en dessous duquel personne ne devrait vivre. Il s'agit de lutter contre la pauvreté , insalubrité, maladie, et le chômage.
Il existe 2 autres logiques :
- la 1ère plutôt social-démocrate qui se fige sur un modèle mixte qui fonctionne sur l’universalité. Les critères d’accès aux prestations sont la résidence et la citoyenneté. Cette logique se traduit sous forme d’impots.
- la 2ème plutôt conservatrice qui se fige sur le modèle bismarckien fonctionne sur la contributivité. Les critères d’accès aux prestations sont le statut et l’emploi. Cette logique se traduit sous forme de cotisations sociales
- La logique beveridgienne, elle, se fige sur un modèle Libéral qui fonctionne sur la sélectivité. Les critères d’accès aux prestation sont le besoin et la pauvreté. Elle se manifeste sous la forme d’impôts aussi.

4- La protection de l’emploi n’explique pas à elle seule le chomage mais elle limite les embauches. D’après le texte, le protection de l’emploi nuit à la