Le classiscisme
I. Les Principes du Classicisme
Le terme de classicisme n’apparaît qu’au XIXe siècle, par opposition à « romantisme ». Le mot sert à designer une vision de l’art à laquelle les romantiques vont s’opposer.
Le classicisme caractérise uniquement l’art français, de manière générale on considère que sont « classiques » les auteurs du XVIIe siècle, seulement ceux qui font référence à travers leurs arts aux valeurs de l’antiquité.
Du point de vue de l’esthétique : le classicisme fait place a l’harmonie, qui celle-ci est fondé sur la symétrie, le mot symétrie est ainsi écrit de tel car il signifie syn (avec) et métrie (mesure). Celui ci est donc associé au classicisme car il montre que le monde classique est un monde ordonné et équilibré.
Du point de vue moral : les classique valorisent la mesure, mais aussi la démesure se qui va pousser certain auteur a exagéré des traits et aller même jusqu’au ridicule.
Mais il ne faut tout de même pas oublier les règles que richelieu a essayé d’instaurer par un moyen politique. C’est pour cela qu’on associe souvent le classicisme et académisme car la création de l’académie était d’une part pour établir un dictionnaire et une grammaire correct mais aussi pour présenter des remarques sur les œuvres et d’en juger leur qualité de style.
Dans le genre du classicisme il n’y a pas de manifeste mais plutôt des textes que l’on considère comme les discours formel qui en définissent les principes : principalement L’art poétique de Boileau et des discours de Corneilles. Ces textes présentent alors les règles du théâtre dit « classique ».
La règle des trois unités est celle qui apparaît le plus souvent :
Unité d’action : la pièce doit développer une seule action principale a laquelle est raccroché plusieurs action secondaire (intrigue) Unité de lieu : la pièce doit se dérouler dans un seule et même lieu.
Unité de temps : l’action doit se dérouler dans une seule et même journée.
Mais toute fois il y a d’autre