Saint Gilles, design social.

Le design à toujours été une discipline qui consiste à réfléchir, dessiner, produire pour un usager ou un groupe d'usagers. Dans cette activité est venue se greffer une nouvelle branche, le design social. D'un certain point de vue le design c'est toujours voulut plus ou moins social de part le qu'il est réfléchit pour toucher une part plus ou moins large de la société.
Ce qui sera nouveau dans le design dit social est la façon dont on va choisir la part de la société sur laquelle on va porter le regard ou nous faire porter le regard et en y apportant une vision éthique de la conception.
C'est en ce sens que j'ai participé au concours Recyprocity de la ville de Liège avec quatre autres étudiants de la section stylisme d'objets, concours de dynamisation du quartier Saint Gilles.

Dans un premier tant il faut définir ce qu'est ou peut être le design social. Comme nous le disions plus haut le design c'est toujours plus ou moins voulut social, mais le design social va lui cibler un certain milieu, une certaine partie de la société plus ou moins en difficulté et ce sur un problème plus ou moins ciblé.
La plus part du temps lorsque l'on entend parler de design social le sujet gravite autour de projet comme la famine, la pollution, la violence, la pauvreté ou encore des problèmes comme l'accès à l'eau potable. C'est sur ce dernier point que le groupe DesignMatters à fondé son programme, le transport et l'acheminement d'eau dans des bidonvilles du Chili. Le designer doit donc réaliser son concept pour un lieu spécifique, ici les bidonvilles, et pour une certaine partie de la société, ici démunie. On constate donc que le design social va principalement traiter les problèmes primaires d'une communauté, culture, éducation, santé.
Mais, bien souvent, on ce rend compte que l'objet dessiné par un individu et fait pour d'autres n'arrive que rarement à destination. Selon moi la finalité du projet peut se voir de trois points de vue bien