Le design d’intérieur est un métier inconnu, encore aujourd’hui, de bien des gens. On le compare souvent au métier de décorateur, mais c’est tout le contraire. Bien que le design d’intérieur ne soit pas reconnu comme un ordre professionnel par le gouvernement québécois, c’est un métier qui touche bien plus que la simple coloration de mobiliers et de peintures. En effet, l’aménagement est au cœur de leur préoccupation, il touche, également, le côté technique de la construction et le côté plus artistique et créatif de l’art. Le designer d’intérieur doit prendre en compte plusieurs facteurs lors de la création d’aménagement : le confort (l’ergonomie), la fonctionnalité, l’harmonie des couleurs, le respect des normes et le choix de mobiliers et accessoires. La consommation est un aspect très important dans notre société.
La société de consommation est-il important dans la création de projet en design d’intérieur ? D’une part, le designer peut créer un besoin superflu d’acheter un nouveau mobilier pour tirer une commission sur le dit mobilier. D’un autre côté, un designer peut vendre des produits écologiques aux clients et les sensibiliser à la consommation comme étant néfaste pour l’environnement. Bref, une norme et une valeur s’opposent, l’exploitation de la personne et le respect de l’environnement.
La théorie kantienne et l’éthique des valeurs de Hume seront appliquées dans le problème ainsi que dans la prise de position.
De nos jours, la consommation touche tout le monde. Les gens ne pense plus à ce qu’ils ont besoin, mais plutôt vite je dois aller m’acheter ceci ou cela. Mais qu’est-ce qui ne nous dit pas que ce sont les vendeurs ou les designers qui poussent les gens à dépenser? Les gens satisfait leurs besoins vitaux (nourritures, logements et éducations) et par respect pour l’environnement, ils ne dépenseront pas pour des choses inutiles qu’ils n’ont pas de besoin dans leur maison. Ceux qui se retrouvent touché dans ce problème sont les designers, les