Dans le sport, on a tendance à dire que la valeur n'attend pas le nombre des années. Visiblement, le dopage non plus. Hier sur le site d’europe 1 on nous racontait que Onze jeunes athlètes indiens (cinq boxeurs, trois haltérophiles et trois lutteurs) ayant participé à une compétition de sport scolaire ont en effet été contrôlés positifs à plusieurs produits dopants, parmi lesquelles la nandrolone (stéroïde anabolisant), la methylhexanamine (stimulant) et la marijuana. Cette nouvelle affaire de dopage intervient dans un contexte assez lourd, un mois seulement après la suspension pour un an de six athlètes indiennes, dont la spécialiste du 400 m Ashwini Akkunji, accusées d'avoir eu recours à des stéroïdes anabolisants et des anciens footballeurs algeriens avaient accusée la federation de leur pays d’etre responsable du mal formation de leur enfant. Il y a peine deux mois de cela Plusieurs joueurs de la sélection algérienne de football des années 80 avaiennt décidé de briser le mur du silence et de demander la vérité sur les handicaps de leurs enfants et le lien possible avec des produits dopants pris à leur insu durant les compétitions. Il y a peine un mois de cela aussi l'ex-tennisman et chanteur à succès Yannick Noah a eu le mérite de provoquer le débat quant au dopage dans le sport de haut niveau en pointant du doigt la réussite espagnole ; tout cela pour dire que le dopage est au cœur m^me de la logique du sport actuellement.
Aujourd’hui dans le sport on remarque une grande augmentation de produit dopant dans le sport et de loi anti dopage. En Effet Chaque année, le ministère de la jeunesse, des sports et de la vie associative publie un arrêté relatif à la liste des substances dopantes et des procédés interdits. Il y aussi L’Union Cycliste Internationale qui considère la santé des coureurs et la promotion de l’éthique sportive comme des priorités. Son programme antidopage est reconnu comme l’un des plus complets et des plus performants par l’Agence Mondiale