Le Droit
Vénalité (satış, satqınçılıq) des offices les magistrats (hakim) sont propriotaires (ev sahibliyi) de leurs charges (yük, məsul olmaq), ils sont donc inamovible (Sabit). Cela relative (nisbi, əlaqəli) beaucoup la théorie de l’absolutisme (mütləqiyyət) de la justice royal (kral) car finalement pour recouvrait (Əhatə) sont autonomies (muxtariyyət) il devait racheter (yenidən almaq, geri almaq) les charges, cela était illusoire (xəyali) vu le contenu (məzmun) du déficit (açıq) public. Ils détenaient (tutmaq) la prérogative (müstəsna) de l’enregistrement (qeyd, qeydiyyat) des lois, loi préparer sous forme d’ordonnance (resept) ou d’édit (fərman) royal devait être enregistré pour rentrer (qaytarmaq) en vigueur (güc, qüvvət) est devenir obligatoire (məcbur), l’enregistrement rend la loi exécutoire (icrası mümkün), car la loi devait être observé (müşahidə) à ce jour. La loi devait être envoyée au parlement ou elle était lue en audience (tamaşaçı) public et ensuite retranscrite (transcripsiya) par (tərəfindən) le greffier (katib) sur un registre spécial. D’où les thermes (hamam) enregistrement. Apres quoi les lois étaient transmises (ötürülən) au cours inferieur (aşağı alt) pour être diffusé (yaymaq) dans le royaume (krallıq). Toutefois (Lakin) les parlements pouvaient s’y opposer (əleyhinə, qarşı), cela en vertu (fəzilət,ərdəm) de la tradition de leurs devoirs (tapşırıq) de conseil. Les parlements avaient pris l’habitude (alışqanlıq) d’adresser au roi les remontrances (etirazlar): observation adresser au roi (kral) sur les textes législatifs (qanunvericilik) pour lui indiquer (göstərmək) et le prié de réfléchir (yansıtmaq, hesab) sur les inconvénients (çatışmazlıqlar) des textes envoyés. Ces remontrances indiquées au roi les raisons pour lesquels il n’était pas opportun (müvafiq, əlverişli) d’effectuer (yerinə yetirmək) en l’état l’enregistrement. Les parlements ce présentait comme avoir a