Je n'était plus que le banal instrument d'une vie qui était sur le point de s'achever.Q'importe mon nom, la seul chose à retenir c'est mon histoire.
Enfant, ayant grandi dans un mediocre quartier americain, je n'eu pas les moyens de me payer une scolarisation. J'étais surement pauvre, mais je sentais en moi, qu'une parti n'était pas comme c'est autres enfants que j'abordaient dans les rues. Nous avions les memes jeux, les memes expressions, les memes richesses, si puis-je parler de richesse, mais je ne perçevait pas le monde comme eu le voyait. Malgré mais l'acune à m'exprimer, sur une feuille de papier empreinter à un livre, l'inspiration me submergais, le crayon usait par le temps, se méttais à dessiner les moindres images enfoui dans une imagination debordante.
Mes peintures, devenue mon salaires. Je ne souhaitais pas dépenser ces misérables sommes. Comme chaque nouvel adulte, j'ouvris un compte et economisa pendant des années, qui passèrent aussi vite que le temps assassinant le rire des enfants.
Une matinée l'envie me pris de voir où mon compte en était.
Je m'attendais à environ 400 $ voir 500 $, mais jamais je n'aurais imaginé que mes économies était au seuil de 2509,52 $.
Je souhaitais ouvrir d'autres horizons grace à mon budget. Pendants de longues semaines, je reflaichissais comment pourais-je exploitais le don que j'avais reçu. C'était un dimanche, la messe venait de ce terminer, une jeune femme en vélo roula sur une pierre et fut projetait elle et son cartable à mes pieds, des dizaines de feuilles s'envolérent de son sac, l'une d'elle atterit entre mes mains. "L'Icarex 35 cs pour seulement
350 $" voila ce qu'il me fallait. L'appareil photo nouvelle génération m'ouvrirait surement de nombreuses portes vers le chemin de l'inspiration. Il était aussi tant que je m'en