Dans quelles mesures peut-on dire que le désir est la marque de la misère de l’homme ?

Le mot désir vient du latin « desiderare » (= regretter l’absence de ). Il s’agit d’un manque que l’homme a, et qu’il désire combler. Le désir, quel qu’il soit, provoque l’instabilité d’un être humain, puisqu’il perturbe, influence l’être dans ses actions et ses choix pour que le désir soit combler. L’homme a toujours un désir en suspens, qui ne demande qu’à être concrétisé, afin d’en tirer un certains plaisir. Il est donc l’expression d’un manque ancré dans l’homme. On ne désire que ce que l’on n’a pas. Mais comment peut-on combler le désir puisqu’il reste quelque chose d’abstrait. En effet, nous ne connaissons pas réellement ce que l’on désire, cela reste une illusion, une recherche du bonheur.
Le désir pourrait alors avoir un effet négatif sur l’homme, qui pourrait révéler une certaine insatisfaction quand à sa recherche du bonheur. Le désir ferait donc sa misère, sa faiblesse. Mais que serions-nous sans désirs ? Viverions-nous dans un monde où seul les activités humaines s’exerceraient ? Mais le désir n’est-il pas l’entrée au bonheur ? Ne pouvons-nous pas trouver des marques positives du désir ? Ne permet t-il pas à l’homme de s’épanouir ?

PARTIE 1 Le désir est sans aucun doute la marque de la misère de l’homme Rien que la vie que l’on mène nous permet d’observer ses effets sur nous. Tout être qui désire quelques chose, se voit tôt ou tard, admettre que certains de ces désirs sont irréalisables tant par leur difficulté à les acquérir ou par le manque de certaines actions qui nous permettrais de parvenir à ce désir. . Ainsi l’homme tente de posséder quelque chose d’impossible acquérir, par exemple le rêve d’une vie différente des autres, où l’argent régnerait ou alors le désir d’immortalité, ou d’autres pouvoirs inexistant. Il est dur de pouvoir mener une vie comme celle-ci simplement par le fait qu’il faut avoir le courage de se battre dès le début pour pouvoir