Le hobo

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Presque tous les sans-domiciles se retrouvent fauchés de temps en temps. Certains d’entre eux n’ont pas le sentiment d’avoir réussi leur visite en ville s’ils reprennent le travail avec de l’argent en poche.
En plus ils s’attardent en ville et manquent donc de sous pour vivre. Se lient d’amitié avec un nouvel arrivant qui a une liasse en poche. (Mais lassitude de vivre au crochet d’un autre migrant).
Un des groupes les plus intéressants est celui des hommes qui vivent en permanence dans la ville et sont fauchés la plupart du temps.
Tapeurs (parvient à tirer de la poche d’autrui de grosses sommes d’argent) / mendigots (mendie pour qqs pièces : amateur, il fait appel à la pitié)
On trouve aussi des différents entre mendiants et colporteurs : ne s’apprécient pas et se jugent. Lutte pour un statut.
Hobo ne peut être classé comme délinquant pourtant peuvent voler. (Campagne: fruits/légumes ou lait, tartes)
*Détrousser : voler les poches d’un homme dans une foule ou lorsqu’il est ivre/endormi.
*Trouver un abri en hiver = difficile. (Durant les autres saisons peuvent dormir dans les parcs, trains…)
Endroits connus pris d’assaut. Certains marchent toute la nuit = porter la banderole.
Ou dans des missions : groupe d’hommes qui tentent de rester éveillés et des videurs les secouent dès qu’ils s’endorment. Association donne des vêtements d’hiver, chacun pense que ça lui revient de droit.
En hiver la compétition entre les sans-abris est féroce. La nourriture est peu abondante, les emplois sont rares, les gens moins généreux et les mendiants plus nombreux.
Différents types de hobos : les fat/gros n’ont pas honte de travailler ou de mendier. Considère ça comme une activité légitime plus honnête que le vol.
En Hobohème, on juge les gens suivant le système D qu’ils ont adoptés : on les classe.
Plusieurs vieillards de West Madison Street ne vivent que de sommes dérisoires mais ont trop d’orgueil pour aller à l’hospice : ils veulent défendre leurs places. Entrer dans

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