le jeu
Pour qu’une philosophie ne soit pas qu’une recette il faut ancrer sa réflexion dans l’amour de la sagesse, un certains type de savoir qui nous donne une ligne de conduite, une ligne de vie mais qui ne se résume pas à une liste de préceptes, il est nécessaire de comprendre le fonctionnement des mécanismes naturelles qu’il faut expliquer. On est dans une explication qui se veut rationnelle et scientifique, par les physiciens, qui vont abandonner les récits homériques. Les physiciens et les philosophe vont fournir une explication rationnelle au monde. Les philosophe vont pousser la question jusqu’à ses plus ultime fondement « duquel est l’être de ce qui est » ? « qu’est ce qui est ? » de quoi est fait l’être = science de l’ontologie des l’antiquité deux réponses s’opposent :
- l’être est immatériel, idée / esprit / conscience (idéaliste = éloge de la pensée)
- l’être est matière (courant matérialiste = il n’y a pas d’autre principe d’être que la matière, ils n’ont jamais trouvé d’âme au bout de leurs scalpel)
Philosophie idéaliste : L’esprit est une substance autre que la matière et est autonome, la matière n’est qu’une traduction de notre esprit. On ne peux pas prouver de façon expérimentale la pensée. Cela reste de l’ordre d’une démonstration intellectuelle et rationnelle
Deux grandes figures de l’antiquité les illustrent :
- Platon pour l’idéalisme, l’être est pensée.
- Epissure pour le matérialisme
Dans le ciel platonicien, le soleil est l’idée du bien, la connaissance. Tout ce qui est dépend du soleil, de la lumière qui rend le monde visible. l’idée du bien est la raison de toutes les autres. Ce qui est hors de la caverne est de l’ordre de l’idée et non pas du sensible, le sensible est une imitation appauvrissante de l’idée selon Platon.
L’art peut déclencher des