Le judaisme et la mort
Le Juifs n’éprouve ni terreur, ni désarroi devant la mort. Celle-ci offre au croyant la possibilité de s’élever spirituellement par ses choix et ses actes, qui seront juges par le créateur le moment venu. Selon le Talmud (tradition) mourir des suites d’une maladie est un don du ciel, accordé a l’humanité.
Elle offre en effet au patient le temps de se repentir avant de présenter son âmes a dieu. La mort est une consécration de l’achèvement de la mission terrestre de l’homme. Son âme accède alors a un monde proche de l’eternel. Lorsque le décès est ressenti, les soignants informeront les proches afin qu’ils se chargent de l’accompagnement spirituel.
C’est une traditions d’assister le mourant dans ses derniers instants.
On doit s’abstenir de tout ce qui pourrait influer sur son état par exemple on ne retire pas son oreiller sous sa tête, on évite tout contacte physiques inutiles et tous acte pouvant hâter la mort comme une bougie entrain de s’éteindre : Qu’un homme mette, le doigt dessus, elle s’éteint aussitôt.
La famille ne pleurera pas en présence de l’agonisant, et ne entreprendra pas des préparatifs mortuaires avant le décès. Selon la loi Juive, une personne dont l’état de sante est critique ne doit jamais être délaissée.
Au moment de la mort si personne n’est présent l’âme se trouverait solitaire et désolée lorsqu’elle quitterais le corps au dernier