Le jugement de l'histoire
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Si, comme le disait Truman, "Deux historiens ne s'accordent jamais sur ce qui s'est produit, et le pire est que tous les deux pensent qu'ils disent la vérité.", alors il y aurait autant de version de l'histoire qu'il existe d'historiens. Or la science de l'historien, l'histoire, qui est une matière enseignée à l'écoles, est censée être une retranscription presque parfaite du passé. L'histoire est une science humaine qui permet d'étudier l'évolution de l'humanité. Elle permet de voir les choses qui ne change pas chez l'homme, elle permet également la relativité de notre situation, de la comparer avec des situations passées. L'histoire permet d'éviter de faire les mêmes erreurs que dans le passé, et également à comprendre notre actualité, notre temps. Le travail de l'historien consiste à rapporter un fait passé à partir de traces présentes."Le jugement de l'histoire" ne devrait être du ressort de l'historien, il ne devrait porter de jugement de valeur sur les actions passés, s'atteler à l'évaluation d'un acte, estimer si il est bon ou mauvais. L'historien devrait donc retranscrire sans juger.
Quelles sont alors les différentes manières de retranscrire l'histoire afin d'éviter un jugement ?
Cependant, les événements retranscrit de l'histoire ne sont pas le fruit d'un jugement de valeur ?
Peut il exister un bon jugement qui découlerait d'une bonne subjectivité ?
La retranscription d'une réalité historique demande à l'historien de faire preuve d'une réel objectivité.
L'écriture de l'histoire se fait de trois manière différente et chacune est rapportée à l'entendement de l'homme. D'abord l'histoire originale, c'est l'histoire vécue, le récit des événements par les témoins direct d'une époque. Comme le premier historien qui s’appelait Hérodote, premier à écrire l’histoire de sa cité. La naissance de l’histoire est contemporaine de la naissance d’un peuple. Lorsque Hérodote écrit il écrit l’histoire de sa cité, il écrit une histoire collective. Mais Hérodote