Le lac de lamartine plan detaille
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Exercice d’autoévaluation 2
Plan détaillé complet
INTRODUCTION
Sujet amené Époque : début du 19e siècle Courant littéraire : romantisme Genre et forme littéraires : genre poétique, élégie (longue plainte amoureuse) Auteur : Alphonse de Lamartine Titre de l’œuvre : Méditations poétiques (recueil de 24 poèmes) Titre de l’extrait : « Le lac » (10e du recueil) Date de publication : 1820 Liens avec le contexte :
Inspiré par l’amour du poète pour Julie Charles (Elvire). Composé à l’occasion de leur rendez-vous raté sur les bords mêmes du lac du Bourget, où ils s’étaient rencontrés l’année précédente.
Poème prémonitoire (Julie, gravement malade, mourra quelques mois plus tard) qui évoque l’angoisse d’un amour menacé et la tristesse occasionnée par la fuite du temps.
Sujet posé : Démontrez que Lamartine, dans son poème « Le lac », dénonce la puissance du temps et demande à la nature de contrer ses effets dévastateurs. (700 mots) Sujet divisé : L’attitude du poète face au temps L’attente du poète envers la nature
DÉVELOPPEMENT I. LE POÈTE BLÂME LA PUISSANCE DU TEMPS A. Le poète s’adresse au temps 1. Pron. pers. 1re pers. sing. et plur. a) « Je viens » (v. 9), « m’asseoir » (v. 9) = voix du poète b) « Je demande » (v. 31), « je dis » (v. 33) = voix de l’aimée c) « nous voguions » (v. 15), « Laissez-nous » (v. 25) = voix du couple d) « ne pourrons-nous » (v. 5), « nous passons » (v. 38), « loin de nous » (v. 41) = voix de l’homme Généralisation dans l’emploi de la 1re personne qui élargit la portée du message que le poète, porte-parole, adresse au temps 2. Apostrophes + vocabulaire péjoratif + accumulation d’interjections a) « Ô temps » (v. 23) b) « Temps jaloux » (v. 39), « Éternité, néant, passé, sombres abîmes » (v. 47)
Écriture et littérature 601-101-MQ (60.1)
M2_Corrigé de l’exercice d’autoévaluation c) « Hé quoi ! » (v. 43) « Quoi ! » (v. 44)