Le libertinage de dom juan
_Que tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni ciel, ni saint, ni Dieu, ni enfer.
Puis, dans la deuxième scène de l’acte III, Dom Juan montre précisément son égard dans la religion et sa grande perversité d’ailleurs, Sganarelle le confirme :
_il ne croit qu’en deux et deux sont quatre, et en quatre et quatre son huit. Troisièmement, on observe notamment dans la première scène de l’acte III, le libertinage scientifique du personnage. En effet, dans cette scène, Sganarelle profite de son habit de médecin pour parler de l’utilité de la médecine. Malgré tout Dom Juan n’en croit rien, il reste sur cette idée que la médecine « est l’une des grandes erreurs qui soient parmi les hommes. De plus, la forme de libertinage la plus retrouvée dans la pièce est le libertinage des mœurs, plus couramment le libertinage moral. Dom Juan est un personnage qui est sans cesse à la recherche de plaisirs sensuels et sexuels. On suit à travers les 5 actes de la pièce, ses nombreuses conquêtes et on y remarque que Dom Juan considère ces femmes comme des objets qui sont là pour répondre à ses plaisirs. Ainsi, on aperçoit tout au long de la pièce, les