Le Libraire : Idéologie plutôt conservatrice de l’époque
Idé principale 1 : Indifférent face a la religion
- Il ne voit pas le clergé comme une figure d’autorité
- Il est indifférent au fait des vendre des livre illégaux
Idée principale 2 : Il n’entretient pas les valeurs de l’époque * Ne veux pas travailler * Se fout un peu de la famille, il couche avec le femme
Idée principale 3 : Il ne fait pas l’aliénation des gens
PLAN DE DISSERTATION
Introduction
À l’éveil de la crise économique des années trente, qui avait frappé le
Québec à plein fouet, un sentiment innovateur naît dans le cœur de nombreux Canadiens français et s’autodétruit quasi simultanément sous les pressions autoritaires du clergé. L’évolution n’a simplement pas sa place dans une société où le respect du traditionalisme est une loi fondamentale. En effet, derrière le portrait d’un Québec florissant, se cache un Québec emprisonné dans une période de Grande Noirceur, durant laquelle la vie socioculturelle et politique se retrouve sous l’emprise des idéologies conservatrices de l’église. Le clergé est alors un dictateur implicite; ils imposent ses lois morales à la population, il contrôle l’opinion publique et limite la liberté d’expression. En 1950, son pouvoir atteint son apogée, surpassant même celui du gouvernement. À travers cet essai, nous démontrerons clairement que la religion a joué un rôle central au Québec, avant la Révolution Tranquille. Nous allons corroborer cette affirmation en nous basant sur nos connaissances historiques de l’époque et en nous référant au roman Le Libraire de Gérard Bessette, qui fût publié à l’aube de la Révolution Tranquille.
·En dirigeant les institutions éducationnelles , le clergé a le pouvoir sur ce que les jeunes étudiants apprennent. Il s’assure que leur éducation soit strictement