Le liseur
Bernhard SCHLINK
Allemagne, Edition folio 1995

Note critique :

Allemagne de l’Ouest, après 1945.
Michaël, un adolescent âgé de 15 ans fait la rencontre d’Hanna Schmitz d’ont il tombe éperdument amoureux. Cette relation l’amène au secret et à la complicité d’une passion interdite. Tout au long du récit des tat de question me viennent à l’esprit, comme ce rituel de lecture qu’Hanna lui impose pendant leur relation. Ne voyant pas la logique dans certaines histoires elle posa et commentât sans cesse tout en posant des questions insensées. Six mois plus tard Hanna disparaît sans sens laisser de traces ni explication.
Michaël le cœur brisé ce met à sa recherche et finit par tout abandonner lorsqu’il comprend enfin qu’elle ne reviendra plus.
Huit ans plus tard Michaël suit des cours de droit à l’université, et son parcours le mène à participer à un procès qui s’avère être celui de son amour d’adolescence, celle qu’il n’aurait jamais cru revoir. Elle ce défend mal, et est condamné à perpétuité pour ce secret qu’elle gardait si précieusement et qui donna une valeur à sa vie.
Mais quel fut ce secret ? Michaël comprendras-t-il tout cela ?
C’est une histoire intriguant qui donne envie de la lire et qui m’as coupé le souffle à la fin. Ce que j’ai le plus apprécié c’est la façon d’ont Bernhard Schlink décrit les lieux et les personnages. De telle façon qu’il m’as suffit de fermer les yeux pour m’imaginer dans cette Allemagne de l’après guerre en compagnie d’Hanna et de Michaël. L’incertitude m’est restée tout au long de cette lecture quant à ce secret si bien gardé que Michaël me dévoile qu’aux dernières