Le livre au moyen age
CM N°1
23/01/2013
Copie d’une bible => prix d’un an pour un universitaire
Copie = 2 pages ½ par jour max
Livre = élite
Si dans le monde médiéval le livre n’est pas si rare, il y a peu de bibliothèques. Un certain nombre de gens possèdent quelques livres, tel le livre d’heures. C’est un livre pieux pour laïcs, on y trouve des psaumes et des prières. Les gens s’en servent pour les prières privés. Accessibles aux modestes. Les chevaliers/marchands peuvent posséder quelques romans/livres techniques… Surtout dans les milieux aristo/urbain.
Même un simple paysan sait ce que c’est qu’un livre. C’est un objet qui suscite un respect tinté de superstition pour le livre religieux => On prête serment dessus, quasi relique. Une vive hostilité aussi envers les registres => Émeutes = on brule les registres.
Les enluminures sont enviés,= respect, mais on découpe les pages vierges ou gratte un texte ancien => Économie.
Aujourd’hui ces restes de livres sont des Épave de cette histoire contradictoire. Les livres ne sont pas les mêmes selon le publique. Ni dans le contenus ni par l’aspect. Livre pour les prêtres/princes/étudiants.
La codicologie est important pour définir le lectorat. L’historien regarde la taille etc…
On constate une multiplication des livres profanes.
Le livre médiéval n’est pas un objet figé => Object fluctuant. Un codex ne correspond pas une œuvre unique => On y rassemble divers textes. Cela montre l’intention de l’auteur.
A défaut des livres il nous reste des inventaires de bibliothèques très précis. Les testaments aussi, les contrats de commande. On peut connaitre le livre autrement que par eux même.
Cour N°1 Le livre médiéval
A lire : Jean Penisson le livre au moyen âge
Le livre est un Object de prix => Object sacré mais aussi élément de trésors chez les religieux. Dans les milieux princiers c’est aussi un Object précieux. Object soigné. Par ses rubriquassions on y voit sa richesse. I) les