Le livre de la jungle avec moogli et baloo
def : étude du comportement (généralement celui de l'humain... parfois celui de la femme lol). Cherche à comprendre pourquoi nous faisons ce que nous faisons et comment nous le faisons.
Blaaa blaaa blaaa je suis paul henry, je suis anglais but là en ce moment je porte le nom de françois le français... blaaa bla bla bla blaaaaa bla ballaaaaa ballalala bl ala balba lba lbajm bal bla blaaa bla bla bla alb alb alalblalalblalala ah la la je m'ennuie... tout ça pour m'inscrire à ce site bidon tssss allez un peu de poésie...
bon voilà les conneries ci dessous devraient vous plaire ;)
/// CONNERIES
La Ville de Paris en vers burlesques de Berthod
La pièce que nous avons placée à la suite de Paris ridicule, quoiqu'elle ait été faite quelques années auparavant, est intitulée : La Ville de Paris en vers burlesques, qui fut publiée pour la première fois en 1652, sous le nom du sieur Berthod et dans plusieurs éditions subséquentes sous celui du sieur Berthaud. « Quel est ce sieur Berthaud ? se demande Viollet-Le-Duc dans sa Bibliothèque poétique (page 504). Ne serait-ce pas le neveu du poëte, évêque de frère de madame de Motteville, l'auteur des Mémoires, et dont parle Tallemant des Réaux, comme faisant de mauvais vers ennuyeux et pleins de vanité, que l'on distingua à la cour par le nom de Bertaud l'incommode, d'un autre Berthaud, musicien soprano, que madame de Longueville avait surnommé Berthaud l'incommodé ? »
Il est assez singulier, en effet, que l'auteur d'un poëme qui a été réimprimé pins de dix fois soit absolument inconnu; les biographes l'ont passé sous silence ; l'abbé Goujet lui-même, toujours si bien informé, ne l'a pas même cité dans la Bibliothèque françoise, nous avions cru devoir conclure de cette absence complète de renseignements sur ce poëte, que son nom, écrit de différentes manières (Berthod, Berthaud, Berthauld et Bertaut), n'était qu'un pseudonyme. Nous étions même disposés à reconnaître sous ce pseudonyme François Colletet, qui