Le low cost
D’après une Enquête réalisée par Cegma Topo, 52,2% des Français se disent prêts à envisager l’achat d’un véhicule Low-Cost
Publicité
Outre une crise économique sans précédant, le marché de l’automobile a connu ces derniers mois un autre bouleversement majeur : la multiplication de modèles de voitures dites Low-Cost : Dacia Sandero, Suzuki Alto, Nissan Pixo et Tata Nano.
Cegma Topo a profité du lancement du modèle Indien pour interroger les Français [1] et connaitre leur perception vis-à-vis de ce marché automobile en croissance.
Les concepteurs de véhicules électriques doivent prendre en compte cette nouvelle orientation du marché, et donc concevoir des petites voitures urbaines dont le prix d’achat se situe bien en deçà de 10 000€.
52,2% des Français se disent prêts à envisager l’achat d’un véhicule Low-Cost
On peut dire que la Nano a réussi son coup médiatique et ce, malgré une indisponibilité du modèle en Europe, puisque 53% des Français ont entendu parler de la « petite voiture pas chère, (voire) la moins chère du monde venue d’Inde », comme ils la définissent.
Cette voiture est, étonnamment, jugée intéressante par 75% des Français. Chose encore plus frappante, 52,2% seraient même prêts à envisager l’achat d’un tel véhicule.
Une attente forte vis-à-vis des constructeurs français
Les Français sont unanimes quant à la présence des marques nationales sur ce marché puisque 90% des personnes interrogées ont déclaré qu’il était du rôle des constructeurs français de proposer un véhicule Low-Cost.
Il est intéressant de souligner que Volkswagen a été cité comme second constructeur non français dont la marque pouvait être associée aux véhicules Low-Cost. Serait-ce une conséquence de leur dernière campagne de communication tournant autour du thème de la crise économique ?
Vers la création d’un nouveau segment de marché ?
2 chiffres tendent à nous faire penser que les Français sont en