Le lévrier et le serpent
Ouverture: Le thème du MAL est omniprésent et se répand dans le fabliau Le lévrier et le serpent. Définition du thème central : Définit par des événements ou des comportements jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, le MAL reste tout de même relatif différant de chaque perception. Premier argument: Tout d'abord, l'auteur le représente par la BRUTALITÉ. Commentaire : Cela s'explique premièrement avec le combat entre le chien et le reptile, de plus, une forme de brutalité est aussi décrite lors du massacre du cabot, par la main de son maître. Preuve : «Tous deux se mirent à combattre si ardemment[...]que le lévrier fut blessé grièvement, [...]il perdit tant de sang que le sol [...]en était couvert. [...]Le berceau [...]en fut renversé, sens dessus dessous.[...et ]le serpent resta [...]occis.» Procédé langagier: Le large champ lexical: combattre ardemment, blessé grièvement, perdit tant de sang, renversé, sens dessus dessous, occis, est utilisé pour exprimer la gravité de l'affrontement. Deuxième argument: Par la suite, la PEUR appuie encore plus fortement ce thème. Commentaire: En effet, la crainte du maître et de sa colère fît fuir les nourrices, car par leur absence, elles devenaient fautive du décès présumé du nourrisson. Preuve: «Allons-nous en; fuyons! De crainte que le seigneur nous fasse périr comme coupable de la mort de son enfant.» Troisième argument: Puis, il le dépeint d'une toute autre manière, soit la PÉNITANCE. Commentaire: Effectivement, en pensant croire sans réellement savoir, le chevalier tua son animal fidèle, mais ceci se retourna contre lui. L'enfant était vivant et son ami punit sans raison, la punition qu'il voulait infliger était maintenant sienne.