Le mensonge
Le fait de mentir, de le comprendre, de manier l’art du mensonge que ce soit comme perversité ou bien comme qualité a été de nombreuses fois employés dans de nombreux domaines autant hétéroclites qu’artistiques…
Dans le domaine littéraire on peut sans hésitations citer « Les Liaisons Dangereuses » de Laclos où le mensonge est maitre et où il fait loi, quand au cinéma, « La vie est belle » ou encore « Goodbye Lénine » nous dépeint un mensonge vertueux permettant de dissimuler changements, malheur et désespoir dans le but de se préserver soi et autrui, ou encore l’affaire Jean-Claude Romand, ou un homme qui à menti pendant 18 ans à ses amis et à toute sa famille, se faisant passer pour ce qu’il n’était pas , une honte, un renie de lui-même ?
L’acte de mentir, qu’il soit au final désintéressé, volontaire ou encore inconscient nous ramène à une question, « faut-il savoir mentir ? »
Savoir mentir peut se traduire de deux manière différentes, en premier lieux cela peut signifier qu’il est nécessaire afin de vivre en société de savoir au moment adéquate dissimuler ou du moins atténuer la vérité, et en un second temps on peut comprendre le fait de savoir mentir comme l’excellence dans l’art du mensonge et le fait de délibérément occulter la vérité afin d’induire en erreur et de faire le mal...
On peut donc en déduire la problématique suivante, « le mensonge est-il un besoin social ou la pratique d’un art nuisible inscrit dans la nature humaine ? »
A la suite de cette réflexion on peut donc proposer le plan suivant, dans un premier temps, le discernement et la perception du mensonge puis, en second lieux, le mensonge tel qu’une habilité ou bien tel qu’un dévergondage du langage…
Le discernement ou bien la perception du mensonge, varie selon le locuteur ou bien selon le récepteur.
En effet, quand le locuteur nous donne une information précise ou bien